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Celle qui a dit Fuck d’Anne-sophie et Fanny Lesage
L’histoire :
« Moi, c’est Alice, jeune femme attachiante (si j’en crois mon entourage) qui a des rêves plein la tête. Pourtant, j’ai l’impression de subir ma vie plutôt que de la vivre vraiment ! J’ai une fâcheuse tendance à me mettre la pression, à être trop exigeante avec moi-même, à culpabiliser pour tout et surtout pour rien (#chargementale), et à courir après cette fucking perfection !
Mon quotidien n’est plus que to-do lists et longues heures de réflexion sous la douche : Comment être à la fois la Caroline Ingalls de mon foyer et l’Oprah Winfrey de mon job ? Comment assurer le bien-être de ma future progéniture alors que j’ai laissé mon chat s’enfuir au bout de trois jours ? Comment garder le piquant de mon couple tout en m’enfilant le soir cinq épisodes de Game of Thrones… dans mon pyjama de la honte ?
I have a dream : clore le bec à mes ruminations incessantes !
Moi, Alice, j’ai (enfin) décidé de me foutre la paix, de vivre ma vie et de partir en quête du graal : le lâcher-prise.
Je veux être celle qui a dit fuck ! #imparfaiteetfieredeletre
Je veux oser jusqu’au bout de mes socquettes ! #freeandwild
Il est temps… voilà pourquoi je commence mon journal ! »
Un style léger, sous forme de journal intime décontracté où l’on suit cette nana qui nous ressemble ou ressemble à ce que nous étions à un moment de notre vie ! A la croisée entre le livre de développement personnel, le roman, le carnet d’une copine, cet ouvrage est une bouffée d’air frais sans prise de tête qui nous invite à lâcher prise et à se détendre !
Parfait pour les premiers jours de soleil au jardin !
Les ignorants de Etienne Davodeau
L’histoire :
« Un vigneron chez Jean-Pierre Gibrat ou chez Emmanuel Guibert, et un auteur de bande dessinée dans la vigne : mais qui sont-ils ? Deux ignorants ! Comment, pourquoi, et pour qui faire des livres ou du vin ? Les réponses à ces questions forment le récit vivant et joyeux d’une initiation croisée. »
Gros coup de coeur pour cette BD qui nous entraine autant dans les coulisses d’un auteur de bande dessinée que dans la vie d’un viticulteur ! Addictif de voir à quel point la passion et la créativité peuvent se trouver dans tous les métiers pour peu qu’on ne compte pas son amour du travail et que l’on reste curieux de tout !
Cette BD m’a donné très envie d’aller passer du temps au pied des vignes !
Derrière le mur coule une rivière de Saverio Tomasella
L’histoire :
« Au bureau comme sur son tapis de course, à table ou au mariage de sa meilleure amie, Estelle contrôle tout. Elle compte ses kilomètres et ses calories, ne tolère aucune erreur, ni avec sa fille ni dans les comptes de ses clients ni dans le comportement de son petit ami, qu’elle congédie au moindre faux pas.
Seule avec ses remords, elle s’épuise à ruminer ses échecs et son insatisfaction. Jusqu’au jour où Béa, sa voisine, la soixantaine épanouie, frappe à sa porte. Avec son rire et sa sensibilité, son franc-parler et son écoute, cette bonne fée va bouleverser sa vie et l’aider, enfin, à lâcher prise… »
Me voilà toujours dans le thème du « lacher prise », il faut croire qu’en ce moment j’en ai besoin ! Cette histoire est celle de beaucoup de femmes qui essaient de TOUT bien faire : travail, éducation, hygiène de vie … mais finalement on finit par s’oublier soi et ne plus prendre de temps pour ce qui nous passionne vraiment ! Ici c’est un retour à la vie plus douce, une ode à l’écoute intèrieure ! Se retrouver pour mieux briller ! Toute cette énergie mal utilisée que l’on déploie pour des choses qui ne nous réussissent pas : une leçon de vie pour ré-apprendre à s’écouter !
Papa et maman sont dans un bateau de Marie-Aude Murail
L’histoire :
« Pauvres Doinel ! Ils s’aiment, mais n’ont pas le temps de se le dire. Ils ont chacun leurs angoisses, leurs soucis mais les gardent pour eux. Marc Doinel, le père aux allures de cow-boy, n’a toujours pas parlé du rachat de sa boîte par des Hollandais décidés à restructurer au lance-flammes. Nadine, la mère débordée, n’évoque jamais la lassitude qui l’accable devant les » fiches de suivi d’acquisition des compétences » de ses élèves de maternelle. Charlie, la fille aînée, se demande bien pourquoi elle est amoureuse de Kikichi, un héros de manga bisexuel, plutôt que d’un garçon de sa classe. Et pourquoi se sent-elle si transparente au collège ? Le petit Esteban, lui, ne se plaint jamais, au point de se laisser maltraiter sans broncher par les grands de l’école. Pauvres Doinel ! S’ils savaient qu’ils partagent un rêve secret… En feuilletant un magazine, chacun d’entre eux est tombé en arrêt devant la même photo. Celle d’une yourte mongole plantée dans une clairière bretonne. »
Cette histoire m’a touchée : elle fait appel à nos vies de famille où chacun vit dans son coin et où on finit par ne plus partager grand chose. A chaque âge les personnages nous apportent leur lot de lassitude et de rêves : ils ont encore des envies mais ne savent pas comment se sortir de ce quotidien et de cette routine ! Les responsabilités des parents, les angoisses des enfants, ici tout est dépeint très justement avec cette touche d’humour parfaite !
Je pense que je suis partie pour lire tous les livres de cette auteure, après avoir dévoré la série des « Sauveur et fils » 😉
Une journée particulière d’Anne-Dauphine Julliand
L’histoire :
« Le 29 février ne revient que tous les quatre ans, il s’agit du jour de la naissance de Thaïs – la petite fille d’Anne-Dauphine Julliand -, atteinte d’une maladie génétique orpheline. Thaïs a vécu trois ans trois quarts : une courte mais belle vie. Lorsque le 29 février réapparaît sur le calendrier, Anne-Dauphine s’offre une parenthèse, sans travail ni obligations, pour vivre pleinement cette journée particulière. Le passé se mêle alors au présent. Chaque geste, chaque parole prend une couleur unique, évoque un souvenir enfoui, suscite le rire ou les larmes. Anne-Dauphine Julliand aime à penser qu’il est possible de gravir des montagnes en talons hauts. Elle a le talent de croquer les émotions de tous les jours. Elle nous raconte sa vie, Loïc, ses fils, Gaspard et Arthur, mais aussi Azylis, son autre princesse, malade, elle aussi. Une leçon de bonheur et une merveilleuse histoire d’amour. »
Une vraie leçon de vie ! Quand on se dit que l’on ne peut pas survivre à ce qu’Anne Dauphine a survécu, elle nous montre que nous avons tous les ressources si on veut bien s’y attarder et que l’essentiel d’une vie n’est pas toujours là où on pense.
J’ai été submergée par l’émotion, par la force et par tout l’amour qui est dépeint à chaque page de ce livre !
Des lectures comme on devrait régulièrement en lire pour que l’on apprenne toujours à savourer le bonheur !
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Merci pour le partage ! J’adore la lecture et si un livre me plaît, je peux le finir en un jour. Cela m’arrive aussi de lire des e-books, c’est assez sympa, surtout lorsque je prends le métro.
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J’ai découvert la Kindle il y a un an et demi et j’avoue qu’en voyage j’aime beaucoup aussi ! 😉
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C’est pratique je trouve 🙂
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